Description
Photos du concert de Julien Doré au Festival des Vieilles Charrues.
Sur la scène Glenmor le vendredi 18 juillet 2025 par Hervé « harvey » LE GALL photographe Cinquième nuit.
Tu veux parler de Julien Doré ? Bon d’accord, mais évite de dire des conneries, parce que le gars, à l’autre bout, il a la répartie facile. Il suffit de suivre ses aventures sur les réseaux sociaux pour savoir que le gars Julien, il pratique le tacle comme un arrière droit assez brutal. Bref. Que dire de Julien Doré, si ce n’est que cet artiste ose tout et que c’est même à ça qu’on le reconnaît ? Il a sûrement suivi le conseil de Maurice (Chevalier) à Johnny (Hallyday) : « Soigne ton entrée, soigne ta sortie et entre les deux tu te démerdes ! » Pour l’entrée, c’est du cossu, du fait main, du velouté avec un costume de crocodile (NDLR : Ah ! Les cro, cro, cro, les crocodiles, t’as la ref ?). Ah ! Julien, vous permettez que je vous appelle Julien ? Quel talent, quel charmeur, un sourire par ici, un clin d’œil par là, rien à dire. Le public (cœur avec les doigts, majoritairement féminin mais pas que) est sous le charme. Je dois reconnaître qu’on a affaire à une bête de scène, il occupe l’espace comme personne (et en plus il chante bien). Julien, c’est sa troisième participation aux Charrues (après 2009 et 2014) et à chaque fois, pour les photographes dans le pit, le mode rafale ronronne et c’est la fête dans le viseur. Avec un petit bonus pour l’édition 2025 : costard blanc et Louboutin. Je quitte Glenmor pour remonter vers Grall, où m’attend Pamela, tandis que le public entame une chenille (qui redémarre). Un artiste populaire, dans le bon sens du terme. Mon gars Julien, tu reviens quand tu veux.






