Description
Décidément ces mecs ne font rien comme les autres. D’abord il y a le nom, trois points d’exclamation, histoire d’emmerder le classement dans les charts quand ils y seront, si un jour ils y sont… Les américains de Chk chk chk (Chik chik chik) – vous pouvez aussi dire ah ah ah si ça vous fait plaisir – investissent la scène. Ils sont une tripotée, genre six ou sept, avec un chanteur dont on sait immédiatement, vu la dégaine, qu’il a une bonne tête de vainqueur. Le gros son, épais, fuse des amplis et on ne tarde pas à comprendre qu’on avait raison ! Le chanteur, monté sur piles longue durée, doit carburer aux Special K amphétaminées. Ce mec est partout, il saute de la batterie, traverse la scène, monte sur les subs devant le public avec une énergie hallucinante. Côté public, pogo et slam obligatoires, la sécu assure mais c’est quand même bien chaud. Chik chik chik, c’est un mix de punk rock mâtiné de funk, c’est totalement inclassable, mais une chose est sûre. Sur scène c’est le groupe qu’il faut absolument voir pour pouvoir dire cet hiver : !!! ? J’y étais.
